Les travaux dans le domaine de la reconnaissance sonore menés notamment au sein des universités de San Francisco et Harvard permettent de mieux comprendre la façon dont le cerveau, confronté à un environnement sonore complexe de type « cocktail party », opère la sélection des sons.
Les dernières recherches en date, de l’université de Harvard, tendent à démontrer que des personnes soumises à des sons nouveaux et inconnus sont capables de « décortiquer » et retenir des structures communes à plusieurs stimuli, faculté qui les aide à séparer différentes sources sonores et à les mémoriser de plus en plus facilement
Ainsi, les expériences révèlent -elles que l’apprentissage de ces schémas s’effectue de façon rapide et continue.