S’il est maintenant avéré que les nuisances sonores induisent un effet délétère sur la santé (stress, irritabilité, accélération de déficiences auditives...) Les conséquences tant physiologiques que psychologiques impactent non seulement la personne exposée mais aussi son entourage.
Un rapport de l’ADEME chiffre à 21 milliards d’Euros le coût sanitaire du bruit au travail. L’OMS, pour sa part, fixe la norme à 45dB, quand on estime qu’à 60 dB, les difficultés de concentration apparaissent. Or, ces données sont nettement dépassées dans un environnement de travail bruyant !
Il y a urgence, que cette 7ème semaine de sensibilisation au facteur bruit au travail , rappellera à l’ensemble des acteurs .